mercredi 27 juin 2012
Ateliers de gestion du stress
samedi 12 mai 2012
Quelle est votre famille d'élan ?
Parmi les âmes humaines, notre nature profonde s'incarne préférentiellement dans l'une des familles d'élan :
- les artistes, trouvent des changements de perspective, nous entraînent sur des chemins symboliques, renvoient un ressenti ;
- les soignants, prennent soin du monde, s'intéressent à la santé, au bien-être et à l'équilibre ;
- les enseignants, ont une propension oratoire à enseigner, à donner des leçons, à transmettre la connaissance ;
- les constructeurs, oeuvrent à créer des structures durables, qui permettent d'y vivre et de s'épanouir ;
- les ombres, sans vie propre, canalisent l'énergie des autres, leur servant de miroir et de relais.
(Plus d'infos)
mercredi 14 mars 2012
Lutte, fuite et neurosciences
Le dimanche 22 avril 2012 de 10h à 17h, au Centre Manolaya à Braine l'Alleud
Dans notre société en apparence civilisée, notre nature individuelle sauvage réclame ses droits. Sous stress intense, notre cerveau de survie est structuré pour lutter, s'inhiber ou fuir. Selon les situations, certaines réactions sont plus adaptées que d'autres. (plus d'infos)
jeudi 26 janvier 2012
Un service municipal dédié au bien-être
Ce week-end, le service du développement personnel et du bien-être présente son premier salon au Palais du littoral. Une manifestation aux bonnes ondes.
« Vivre ensemble et mieux vivre » soulignait le maire de Grande-Synthe, Damien Carême, lors de ses voeux au personnel et à la population. C'est dans ce sens que ce premier service de développement et de bien-être « de France », selon son directeur Youcef Bensaber, en tout cas, de l'agglomération, a été créé. Situé à l'espace-jeunes de l'Albeck, il regroupe, pour le moment, deux personnes. « Il a d'abord fallu identifier ce qui fonctionnait parmi les actions menées sur la ville, et celles qui fonctionnaient moins » explique Youcef Bensaber. Le constat ? « Plusieurs choses existaient : du taï-chi, des massages, du relooking... Mais ce n'était pas forcément fédéré ni très visible. » Soutenu et aidé par l'association Côté quartiers, il a donc établi un diagnostic pour trouver le moyen de mieux lier toutes ces activités afin qu'elles soient davantage connues de la population.
« Ce service est une synergie qui rayonne grâce aux autres volets de la ville », souligne Youcef Bensaber. Avec le CCAS, le service seniors, le service éducation-petite enfance ou encore le service sport, entre autres, ce nouveau secteur a pour but « de fédérer tout le monde autour du concept ». Et des idées, le directeur en a à foison.
Première réalisation concrète : le salon du bien-être et du développement personnel. « Je me suis inspiré de ce que j'ai vu au salon Zen à Paris, ainsi que de méthodes qui m'interpellaient. J'ai eu des réactions plutôt vives sur certaines, comme l'iridologie. A l'inverse, un ophtamologue m'a dit qu'il passerait voir. Preuve qu'il faut apprendre à connaître ces pratiques. » Sur deux jours, les visiteurs découvriront des exposants locaux mais aussi nationaux. « Cela ne m'empêchera pas, à l'avenir, de proposer des conférences ponctuelles avec ces personnes. L'idée est de faire comprendre ces formes de bien-être. Les habitants pourront ainsi identifier leurs besoins et, peut-être, trouver des solutions. » Un questionnaire exposant et un autre pour le public seront distribués afin de connaître les attentes précises. Youcef Bensaber espère ainsi faire coller ses actions au plus proche des besoins de ses concitoyens.
Claire HOHWEYER
Dans l'édition du 25 janvier, retrouvez l'interview d'une sophrologue originaire de Grande-Synthe, Noémie Masson, présente sur le salon.
dimanche 30 octobre 2011
Victime, bourreau, sauveur
Le monde semble fonctionner selon le triptyque victime-bourreau-sauveur : comme si, individuellement ou à l'échelle des
nations, nous étions condamnés à prendre un rôle. En l’occurrence, chaque rôle présente des avantages :
• la victime reçoit l'attention des autres ;
• le bourreau renforce son sentiment de pouvoir personnel ;
• le sauveur se donne une image positive de lui-même.
Mais ces rôles ont-ils le pouvoir de nous satisfaire ? Ou sont-ils des masques visant à cacher notre souffrance intérieure ? (Plus d'infos)
samedi 10 septembre 2011
Fête d'Automne Parc Chlorophylle
Dimanche 18 septembre prochain, aura lieu la 10ème Fête d'Automne du Parc Chlorophylle.
mardi 9 août 2011
Principes diététiques
- préférer les sucres naturels et les manger avant les repas
- limiter les céréales à gluten comme le blé, au profit du riz, du maïs, etc.
- consommer des graisses crues plutôt que cuites
- supprimer le lait de vache et ses dérivés
- faire germer les noix et les graines
lundi 6 juin 2011
Un salon de beauté pour les petites filles?
Les 6-15 ans peuvent désormais se faire masser et épiler à Paris. La tendance venue des Etats-Unis effraye certains psys. Et vous?
Une chaîne de spa parisien propose désormais des prestations pour les moins de 15 ans. Cette pratique courante aux Etats-Unis risque de provoquer le débat en France... A la carte du mini Kids Spa: massages, manucure, conseils beauté et même épilation, le tout agrémenté de smarties, fraises Tagada et sirop de grenadine... Normal, ici les petites clientes aiment encore jouer à la poupée.
Quelle différence avec le hammam familial?
"Camélia et Léa viennent au "Kid Spa" pour se faire poser du vernis à ongles des mains et des pieds et se faire masser la tête et le dos", explique Kadija, mère des deux fillettes âgées respectivement de 13 et 9 ans."Mes filles apprennent à grandir en faisant comme maman", affirme la jeune femme d'origine maghrébine. Elle-même allait "au hammam avec les femmes de sa famille" lorsqu'elle était petite fille. Victoria, une autre adolescente a droit à une visite mensuelle chez l'esthéticienne pour une épilation et un soin du visage. "C'est important que les jeunes filles découvrent très jeunes leur corps pour l'apprécier", estime sa mère Sandrine Bouana.
Et si l'épilation décomplexait certaines préados?
Dans son spa, l'esthéticienne Fatia Romeu propose une série de formules de soins allant de 32 à 120 euros adaptées aux enfants de 6 à 15 ans. Les filles peuvent venir seules, entre copines ou avec leur mère. "Les fillettes viennent chez moi principalement pour un modelage du cuir chevelu, un soin des mains ou du visage, une pose de vernis", raconte Fatia Romeu qui a importé ce concept des Etats-Unis. Il lui arrive aussi de procéder à "l'épilation du maillot et des aisselles pour des fillettes d'une dizaine d'années qui ont un système pileux très développé et qui sont l'objet de moqueries à l'école".
La société hyperérotisée fabrique t-elle des lolitas?
Pour Marie-France Hirigoyen, psychiatre, cette vogue est le signe d'une "dérive de notre époque: l'hypersexualité des toutes jeunes filles". "Les très jeunes filles se font de plus en plus épiler le maillot. C'est une conséquence du fonctionnement de notre société hyper érotisée, mais c'est aussi le changement des rapports des jeunes filles et des mères", estime-t-elle. "A une époque où on amène les mères à rester jeunes le plus longtemps possible, on amène les petites filles à être dans la sexualité et la féminité de plus en plus tôt", constate la psychiatre. "Ces nouvelles normes sexuelles sont relayées par les magazines féminins où les petites filles doivent être de petites Lolita et des consommatrices".