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lundi 6 juin 2011

Un salon de beauté pour les petites filles?


Les 6-15 ans peuvent désormais se faire masser et épiler à Paris. La tendance venue des Etats-Unis effraye certains psys. Et vous?

Une chaîne de spa parisien propose désormais des prestations pour les moins de 15 ans. Cette pratique courante aux Etats-Unis risque de provoquer le débat en France... A la carte du mini Kids Spa: massages, manucure, conseils beauté et même épilation, le tout agrémenté de smarties, fraises Tagada et sirop de grenadine... Normal, ici les petites clientes aiment encore jouer à la poupée.

Quelle différence avec le hammam familial?

"Camélia et Léa viennent au "Kid Spa" pour se faire poser du vernis à ongles des mains et des pieds et se faire masser la tête et le dos", explique Kadija, mère des deux fillettes âgées respectivement de 13 et 9 ans."Mes filles apprennent à grandir en faisant comme maman", affirme la jeune femme d'origine maghrébine. Elle-même allait "au hammam avec les femmes de sa famille" lorsqu'elle était petite fille. Victoria, une autre adolescente a droit à une visite mensuelle chez l'esthéticienne pour une épilation et un soin du visage. "C'est important que les jeunes filles découvrent très jeunes leur corps pour l'apprécier", estime sa mère Sandrine Bouana.

Et si l'épilation décomplexait certaines préados?

Dans son spa, l'esthéticienne Fatia Romeu propose une série de formules de soins allant de 32 à 120 euros adaptées aux enfants de 6 à 15 ans. Les filles peuvent venir seules, entre copines ou avec leur mère. "Les fillettes viennent chez moi principalement pour un modelage du cuir chevelu, un soin des mains ou du visage, une pose de vernis", raconte Fatia Romeu qui a importé ce concept des Etats-Unis. Il lui arrive aussi de procéder à "l'épilation du maillot et des aisselles pour des fillettes d'une dizaine d'années qui ont un système pileux très développé et qui sont l'objet de moqueries à l'école".

La société hyperérotisée fabrique t-elle des lolitas?

Pour Marie-France Hirigoyen, psychiatre, cette vogue est le signe d'une "dérive de notre époque: l'hypersexualité des toutes jeunes filles". "Les très jeunes filles se font de plus en plus épiler le maillot. C'est une conséquence du fonctionnement de notre société hyper érotisée, mais c'est aussi le changement des rapports des jeunes filles et des mères", estime-t-elle. "A une époque où on amène les mères à rester jeunes le plus longtemps possible, on amène les petites filles à être dans la sexualité et la féminité de plus en plus tôt", constate la psychiatre. "Ces nouvelles normes sexuelles sont relayées par les magazines féminins où les petites filles doivent être de petites Lolita et des consommatrices".

Alors, que pensez-vous de cette pratique? Prendre soin de son corps est-il une activité réservée aux adultes ou les jeunes filles peuvent-elles s'y adonner librement? Les mères trop fusionnelles doivent-elles se sentir coupables de cette évolution?

mercredi 20 octobre 2010

Les ingrédients les plus dangereux en cosmétique

Voici la liste des ingrédients les plus dangereux dans les produits de beauté dits « classiques » :

- Tout d’abord, il y a le Propylène glycol (ou encoremono propylène glycol). Il s’agit d’un conservateur qui est dérivé du pétrole. Il s’utilise également dans les peintures.
- Ensuite, le Laureth sulfate de sodium (ou encore Lauryl éther sulfate de sodium). C’est un détergent qui est utilisé pour son effet moussant. Cet ingrédient irrite considérablement la peau et provoque plusieurs sortes d’allergies.
- Vient par la suite l’hydroxytoluène butylé (BHT) et l’hydroxyanisole butylé (BHA) qui sont des antioxydants très cancérigènes.
- Il y a également les Phtalates qui sont des groupements d’éléments chimiques. Ils sont composés par : le Phtalate de Dibutyle (DBP), le Di-ethylhexyl phtalate/ di-octyl phtalate (DOP/DEHP), le Di-isononyl-phtalate (DIN), la Phtalate diisodécylique/ di-iso-décyl-phtalate (DIDP), Butyl benzyl phtalate/ benzyl butyl phtalate (BBP).Ces éléments sont utilisés dans les peintures, les encres, les adhésifs et les vernis pour bois. Les phtalates sont nuisibles pour les reins, le foie, les poumons et aussi les appareils reproducteurs.
- Les Polyéthylènes glycols (PEG) qui sont des éléments inflammables et également cancérigènes. Il y a aussi les propylènes glycols (PPG) qui ont les mêmes caractéristiques que l’huile pour les freins et les fluides antigels utilisés dans les usines et dans les automobiles.
- Le Sel d’aluminium qui est utilisé dans les produits anti-transpirants comme les déodorants. Le sel d’aluminium provoque le bouchage des canaux de sécrétion naturelle des glandes sudoripares. Elle engendre également des inflammations à long terme.
- Ensuite, il y a le fameux Paraben (Ethylparaben, Methylparaben, Butylparaben, Propylparaben). C’est un conservateur synthétique très dangereux qui a été prouvé comme hautement cancérigène.
- Enfin, la Formaldehyde. C’est un groupement chimique composé par : la diazolidinyl urea, la DMDM hydantoin, l’imidazolidinyl urea, le quaternium-15, 2-bromo-2-nitropropane-1,3-diol (Bronopol). A l’instar du Paraben, c’est un conservateur cancérigène mais il est également neurotoxique.
A présent, sachez lire et décrypter l’étiquette de votre produit. Aussi, n’hésitez pas à opter pour les produits naturels et/ou bios.

vendredi 23 octobre 2009

Malaysian ‘Jail Spa’ Nurtures Beauty Behind Bars


Against a backdrop of razor wire and machine guns, beauty therapists at Malaysia’s first “jail spa” quietly tend to their customers under the watchful eye of uniformed wardens. Despite the tight security, the innovative Balinese-decorated spa is doing a brisk trade while giving inmates at the country’s biggest women’s prison a trade they can turn to after their release. “I am not afraid at all because I have faith that these prisoners are well-trained to serve the customers and our safety is assured here,” said Noor Aliza Osman, 45, who was on her second visit to the spa at Kajang Prison. “It is comfortable here, the prices are reasonable and I don’t have to wait too long to get my hair done like at other salons,” said the mother of four who was having her hair colored with henna by 30-year-old prisoner “Farah.” With her hair neatly tied back and dressed in a loose green jacket and trousers, Farah looked like any other beauty therapist, apart from the prisoner identification number sewn onto her uniform. “I am very glad to have this chance and I have regular customers here who have been kind enough to ask me to work for them once I am released, as they have become familiar with me,” she said with a smile. “This is a very good experience and I have learned useful skills here. I’m considering opening up my own spa if I have enough money when I am freed.” Farah — using an assumed name at the request of prison authorities — is an Indonesian citizen who worked as a waitress before overstaying her visa in Malaysia and being sentenced to one year in jail. She is among seven prisoners currently working at the spa, who go through four security checkpoints each morning to reach the salon from their cells a few hundred meters away. Once at the cozy building, where the scent of aromatic oils floats in the air, they are permitted to mingle freely with their customers, chatting and laughing as they work a nine-hour shift under close watch of three wardens. Only inmates who have not committed serious or violent offences are considered for a position at the spa. Some 60 percent of the jail’s 1,600 inmates are foreigners, many of them Indonesians convicted on immigration charges. The salon has welcomed a steady stream of customers since opening late last year, offering head-to-toe beauty services such as facials, pedicures, foot reflexology and massages for as little as 30 ringgit ($8.60). “The response has been overwhelming so far,” said the prison’s chief inspector Fauziah Husaini. “Many customers were hesitant to come to a prison at the beginning but … this program can change public perception about prisoners so they will be easily accepted by the society in future,” she said. Prisoners working in the spa are paid a small allowance and the rest of the income generated from the business is used to help fund other rehabilitation programs, such as bakery and sewing classes. “We are basically helping them to prepare themselves to adapt to society once again when they are freed. We also hope this program can lift the veil of secrecy about prison in the eyes of the public,” Fauziah said. “It’s all about empowerment and to give these prisoners a sense of confidence, that’s how the idea of setting up this spa came about.” Agence France-Presse

vendredi 18 septembre 2009

La valeur des choses


Cette histoire a probablement déjà fait le tour de la planète mais elle mérite bien une réflexion. Le musicien de rue était debout dans l’entrée de la station L’Enfant Plaza du métro de Washington DC. Il a commencé à jouer du violon. C’était un matin froid, en janvier dernier. Il a joué durant quarante-cinq minutes. Pour commencer, la chaconne de la 2ème partita de Bach, puis l’Ave Maria de Schubert, du Manuel Ponce, du Massenet et de nouveau Bach. A cette heure de pointe, vers 8h du matin, quelque mille personnes ont traversé ce couloir, pour la plupart en route vers leur boulot. Après trois minutes, un homme d’âge mûr a remarqué qu’un musicien jouait. Il a ralenti son pas, s’est arrêté quelques secondes puis a démarré en accélérant. Une minute plus tard, le violoniste a reçu son premier dollar : en continuant droit devant, une femme lui a jeté l’argent dans son petit pot. Quelques minutes ensuite, un quidam s’est appuyé sur le mur d’en face pour l’écouter mais il a regardé sa montre et a recommencé à marcher. Il était clairement en retard. Celui qui a marqué le plus d’attention fut un petit garçon qui devait avoir trois ans. Sa mère l’a tiré, pressé mais l’enfant s’est arrêté pour regarder le violoniste. Finalement sa mère l’a secoué et agrippé brutalement afin que l’enfant reprenne le pas. Toutefois, en marchant, il a gardé sa tête tournée vers le musicien. Cette scène s’est répétée plusieurs fois avec d’autres enfants. Et les parents, sans exception, les ont forcés à bouger. Durant les trois quarts d’heure de jeu du musicien, seules sept personnes se sont vraiment arrêtées pour l’écouter un temps. Une vingtaine environ lui a donné de l’argent tout en en continuant leur marche. Il a récolté 32 dollars. Quand il a eu fini de jouer, personne ne l’a remarqué. Personne n’a applaudi. Seule une personne l’a reconnu sur plus de mille personnes. Personne ne savait pas ce violoniste était Joshua Bell, un des meilleurs musiciens sur terre. Il a joué dans ce hall les partitions les plus difficiles jamais écrites avec un Stradivarius de 1713 valant 3,5 millions de dollars. Deux jours avant de jouer dans le métro, sa prestation au théâtre de Boston était « sold out » avec des prix avoisinant les 100 dollars la place. C’est une histoire vraie. Joshua Bell jouant incognito dans une station de métro a été organisé par le « Washington Post » dans le cadre d’une enquête sur la perception, les goûts et les priorités d’action des gens. Les questions étaient : dans un environnement commun, à une heure inappropriée, pouvons-nous percevoir la beauté ? Nous arrêtons-nous pour l’apprécier ? Reconnaissons-nous le talent dans un contexte inattendu ? Une des possibles conclusions de cette expérience pourrait être : si nous n’avons pas le temps pour nous arrêter et écouter un des meilleurs musiciens au monde jouant quelques-unes des plus belles partitions jamais composées, à côté de combien d’autres choses passons-nous?

jeudi 17 avril 2008

Venez nous dire bonjour à l'occasion du salon "Essentiel", le nouveau salon du bien-être



Essentiel, le salon de la beauté et du bien-être, se tiendra les samedi 10, dimanche 11 et lundi 12 mai 2008.

A cette occasion, tous les titulaires de la Wellness Card bénéficieront d'une réduction exceptionnelle de 50% sur le prix de l'entrée (soit 3,5€ au lieu de 7€).
Wellness Paladins sera également présent sur le salon, c'est donc l'occasion de passer nous dire bonjour puisque sur présentation de votre Wellness Card, vous recevrez un petit cadeau surprise.


Quelques mots sur ce nouveau salon du bien-être...

Salon axé sur la beauté et le bien-être, Essentiel, unique en région liégeoise, rassemble en un seul lieu une multitudes de techniques de pointe ou ancestrales, différentes formes de thérapies douces, diverses gammes de soins, des centres de remises en forme, mais aussi des ateliers pratiques de relooking, de massages ou de « bien manger », ainsi que des conférences animées tant par des médecins que par des spécialistes en bien-être.


Pour vous inscrire aux conférences et découvrir tous les détails du salon, surfez sans plus tarder sur: http://www.salonessentiel.be.