lundi 28 janvier 2008

What is Bikram Yoga?



Bikram yoga also known as Hot Yoga is a complete system of wellness, restoration and rejuvenation. Bringing Bikram yoga into your life cleanses the body and calms the mind. The studio is HOT (105°F - 40.5°C) with a humidity of 40% to facilitate deeper stretching, prevent injury, relieve stress and tension and to detoxify the body.

Bikram yoga was designed to systematically stimulate and restore health to every muscle, joint and organ of the body. Participants are guided through a series of 26 postures and two breathing exercises, each increasing in physical challenge. Participants of all ages notice an increase in energy, strength, balance, flexibility and mental focus. The body is flushed of toxins, leaving a deep sense of relaxation and well-being.
Classes last approximately 90-minutes. People of all levels, ages and body types practice and start together as this is a beginning yoga class.

vendredi 11 janvier 2008

Une vie saine accroît la longévité de quatorze ans




Ne pas fumer, boire peu d'alcool, manger des fruits et des légumes et faire régulièrement de l'exercice physique... Quatre règles simples qui prolongent l'espérance de vie.
De nombreuses enquêtes ont déjà montré que le tabagisme, tout comme la consommation excessive d'alcool, abrège l'existence. On estime qu'il est bon de manger des fruits et légumes régulièrement et de faire de l'exercice physique. Mais personne n'avait encore calculé les bénéfices que l'on tirerait d'un mode de vie qui cumulerait ces comportements.

C'est désormais chose faite, puisqu'une équipe de chercheurs de l'université de Cambridge (Royaume-Uni), en partenariat avec le Medical Research Council, s'est penchée sur ce problème et a mené pendant quatorze ans une enquête qui lui permet d'affirmer que cette vie considérée comme idéale (au moins en terme de santé) majorerait l'espérance de vie de quatorze ans, par rapport à ceux qui additionneraient tous ces facteurs de risque. Leurs travaux sont publiés cette semaine dans la revue Public Library of Science Medecine (PloS Medecine).

Pour aboutir à ce résultat, les chercheurs de Cambridge ont commencé en 1993 à surveiller 20 244 personnes, hommes et femmes, âgés de 45 à 79 ans, après les avoir interrogées sur leur mode de vie. Chaque participant s'est vu attribuer un score d'un point pour chacune des quatre attitudes favorables en terme de santé (absence de tabac = 1 point, faible consommation d'alcool (un demi-verre par jour = 1 point), tout comme manger cinq fruits et légumes par jour et pratiquer un exercice physique d'une demi-heure par jour). En 2006, les enquêteurs ont pu comptabiliser 1 987 décès parmi ces 20 000 volontaires et ont corrélé la durée de vie de chacun à son mode de vie.


La mortalité cardiaque influencée par le mode de vie

Les conclusions sont attendues mais elles apportent néanmoins beaucoup de précisions sur les conséquences sanitaires d'une vie saine. Pour ceux qui n'ont aucun point, c'est-à-dire qui cumulent ces quatre comportements nocifs, le risque de mortalité par rapport à ceux qui en ont quatre est multiplié par 4,4. Le risque de décès est multiplié respectivement par 2,52, 1,95 et 1,39 pour ceux qui respectent un, deux ou trois comportements favorables sur la santé.

Forts de toutes ces données, les chercheurs ont aussi pu calculer qu'une personne âgée de 60 ans qui cumule tous les comportements à risque c'est-à-dire qui n'a aucun point a le même risque de mourir qu'un individu de 74 ans qui serait doté de 4 points, c'est-à-dire qui n'a aucun des facteurs de risque définis ci-dessus. De manière globale, dans cette cohorte suivie par les chercheurs, les chances de survivre sont de 95 % avec une vie totalement «saine» contre 75 % pour ceux qui multiplient les comportements à risque. «Il y a une forte décroissance du risque de décès avec l'augmentation des attitudes positives. Ceux qui respectent quatre comportements bénéfiques ont approximativement un quart de risque de mortalité en moins que ceux qui n'en respectent aucun, ce qui équivaut à une différence de quatorze ans d'espérance de vie, concluent les auteurs. La mortalité cardiaque apparaît la plus influencée par le mode de vie, suivie de près par celle liée au cancer.»

«C'est la première fois que l'on analyse l'effet cumulé des facteurs de risque sur la mortalité, expliquait le professeur Kay-Tee Khaw, le premier signataire de l'étude, sur le site Internet de la BBC. Nous avons aussi montré que l'origine sociale ou encore le poids n'influencent que peu le risque de décès. Une large proportion de la population pourrait tirer de grands bénéfices sanitaires avec des changements modérés du mode de vie.»

Sans utiliser aucun médicament, il apparaît donc possible de prolonger l'espérance de vie. Reste à savoir s'il est possible de convaincre nos concitoyens de modifier leur mode de vie pour vivre plus longtemps et s'ils souhaitent vivre plus vieux en se privant de quelques-uns des plaisirs terrestres.

Source : Le Figaro - Martine Perez

mercredi 9 janvier 2008

Le massage encore une fois reconnu


Technique ancestrale, appréciée des amoureux, très "tendance", les massages sont aussi en train d'acquérir une autre étiquette: celle d'alliés de la médecine, pourvoyeurs de bénéfices scientifiquement prouvés. Une étude américaine récente a évalué leurs effets positifs après une opération chirurgicale lourde.


Les médecines douces ou alternatives sont au centre de beaucoup de controverses enflammées – et souvent, l'opinion que l'on a d'elles dépend plus de nos valeurs personnelles que d'une réelle expérience ou connaissance du sujet. Par ailleurs, s'il est tentant de bénéficier de leurs avantages, il est aussi inquiétant de se lancer dans des traitements qui ne sont pas reconnus par la médecine "officielle". C'est pourquoi les patients devraient se réjouir d'une tendance actuelle de la recherche scientifique à se pencher sur l'efficacité des techniques dites douces. Cet intérêt s'est encore confirmé récemment avec la parution d'une étude, pas la première, qui pointe l'utilité des massages dans le suivi de patients juste après une opération chirurgicale lourde.


Des vétérans sous la loupe

Pour vérifier l'efficacité des massages, une étude s'est penchée sur la douleur
postopératoire chez des patients âgés (la moyenne d'âge était de 64 ans) ayant subi des opérations chirurgicales lourdes. Ces patients étaient divisés en trois groupes: un groupe recevait les soins ordinaires, un deuxième recevait un massage du dos de 20 minutes tous les soirs, et un troisième, pour tenter de faire la différence entre les effets physiques du massage et les effets psychologiques d'un suivi personnalisé, recevait 20 minutes d'attention de la part d'un thérapeute en massages.



Effets importants

L'étude a conclu à l'intérêt d'un massage pour diminuer, tout de suite après l'opération, la douleur, le désagrément, et aussi l'anxiété chez ces personnes relativement âgées. La douleur et le désagrément diminuaient aussi plus rapidement qu'avec le soins ordinaires sur le plus long terme (plus de quatre jours après l'opération). L'efficacité immédiate d'un massage était équivalente à celle d'une dose de morphine, ce qui est remarquable, d'après le Dr Hinshaw, responsable de l'étude. Il n'y a cependant pas eu d'effet observé du massage sur la durée d'hospitalisation ou la quantité de médicaments antidouleur utilisés.


Les massages déjà utilisés

Cette étude n'est pas la première à se pencher sur l'utilité des massages en relation avec la chirurgie. Un massage mécanique de l'abdomen permet par exemple d'améliorer la guérison et de diminuer les douleurs qui suivent une colectomie, selon une étude américaine datant de 2002. L'offre de massages ou autres soins "bien-être" est aussi en train de se développer dans les hôpitaux belges. Si vous prévoyez de vous faire opérer, ou si l'un de vos proches est hospitalisé, n'hésitez donc pas à poser la question. Si votre établissement hospitalier ne propose pas ce type de service, votre médecin pourra peut-être vous conseiller un kinésithérapeute compétent dans le domaine. En attendant que les massages entrent complètement dans les mœurs…

Marion Garteiser, journaliste santé (source www.e-sante.be)

Une enquête de Towers Perrin : Des salariés démotivés, un potentiel inexploité


ENTRE LE DISCOURS des entreprises et la pratique, il existe une marge… dont cette enquête révèle l'ampleur.

Le constat sonne comme une claque : « seul un Belge sur dix est motivé au travail », affirme le cabinet Towers Perrin, spécialisé en conseils en gestion des ressources humaines. Qui prend appui, pour émettre ce jugement, sur son enquête « Global Workforce » réalisée dans 18 pays auprès de 88.600 salariés, dont un millier en Belgique.

Il ressort en effet de cette étude, où l’on joue cependant sur les mots entre « engagement» et « motivation », que 13 % seulement des salariés belges sont « engagés », c’est-à-dire prêts à consentir un effort total en faveur de leur job. Quelque 47 % des personnes sondées seraient simplement « motivées » : elles font leur travail mais n’y sont pas émotionnellement liées, et dès lors ne sont pas prêtes à réellement s’investir davantage. Du côté franchement négatif de l’échantillon, 31 % des répondants se disent « démotivés » alors que 9 % des salariés avouent être « désabusés » (complètement démotivés).

« Seul un travailleur sur dix est donc disposé à faire davantage qu’il ne faut pour contribuer aux bons résultats de son employeur. Ce chiffre est inférieur en Belgique à la moyenne mondiale, qui s’élève à 21 % des salariés », note-t-on chez Towers Perrin. En cause ? « L’existence de ce que nous appelons un « engagement gap », d’un écart entre les efforts que les personnes veulent investir dans leur travail et l’efficacité de l’entreprise pour canaliser ces efforts vers de meilleurs résultats. »

À cet égard, le plus important facteur de motivation en Belgique réside selon cette étude dans la croyance que c’est la direction générale qui assure le succès à long terme de l’entreprise. Or, moins de 50 % des travailleurs belges pensent que c’est le cas de leur entreprise. En outre, un travailleur sur trois à peine pense que ses dirigeants s’intéressent réellement à son bien-être.

Seuls 29 %des répondants belges estiment que la direction communique de façon ouverte et honnête et… 6 %à peine pensent qu’elle les traite « comme s’ils étaient l’élément le plus important de l’entreprise ». Pour la moitié des répondants, enfin, les salariés ne seraient traités que comme « n’importe quel autre volet de l’entreprise. »


Impact sur le résultat financier

Bref, le sentiment que les dirigeants mettent réellement en place les conditions permettant de les motiver n’est pas vraiment unanime parmi les salariés.

« D’où l’importance pour la direction générale de leur montrer comment les contributions individuelles peuvent permettre à l’entreprise de réussir et, plus important encore, de leur montrer clairement ce qu’ils obtiendront en échange pour l’évolution de leur carrière professionnelle », poursuit-on chez Towers Perrin où l’on estime que « les employeurs doivent appréhender leurs salariés comme ils appréhendent leurs clients. »

Le constat étant posé, quelles en sont les conséquences ? Selon le cabinet, « les employeurs qui parviennent à motiver leurs salariés en tireront des bénéfices financiers, car une corrélation directe a été constatée entre le niveau d’engagement des salariés dans leur travail et les résultats financiers de l’entreprise ».

L’augmentation du résultat d’exploitation serait de 19 % en moyenne par an pour les entreprises où l’engagement des salariés est le plus élevé. À l’opposé, le résultat d’exploitation diminuerait de 33 %en moyenne par an pour les entreprises où l’engagement des salariés est le plus bas.

D’où cette conclusion tirée par Towers Perrin : « On ne saurait sous-estimer l’importance d’une main-d’oeuvre motivée de nos jours » souligne le cabinet. « Cette enquête démontre qu’à une époque où la concurrence entre les entreprises est effrénée, leur propre main-d’oeuvre représente un potentiel majeur inexploité. »

■ BENOÎT JULY

Source: http://www.references.be

vendredi 4 janvier 2008

Secrets of Beauty



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