- préférer les sucres naturels et les manger avant les repas
- limiter les céréales à gluten comme le blé, au profit du riz, du maïs, etc.
- consommer des graisses crues plutôt que cuites
- supprimer le lait de vache et ses dérivés
- faire germer les noix et les graines
mardi 9 août 2011
Principes diététiques
vendredi 13 août 2010
Ta nourriture est ton médicament
Aujourd'hui, la nourriture est dénaturée à tel point qu'on peut se demander si elle est encore capable de produire de la santé. Cultivée sur des sols pauvres et compacts, voire hors-sol, gorgée de pesticides et autres résidus toxiques, stérilisée par irradiation, la nourriture d'aujourd'hui n'a plus grand chose à voir avec celle consommée à l'époque d'Hippocrate. La sélection génétique des variétés cultivées visant un maximum de production, la stérilisation des sols par les produits chimiques, l'ajout d'additifs de conservation et d'exhausteurs de goût, rendent la nourriture stéréotypée, fade et mollasse. Enfin, l'achat sans penser à la production et à la provenance des aliments, la cuisine haute température, et la méconnaissance des associations alimentaires achèvent de rendre notre nourriture impropre à nous satisfaire gustativement, nutritivement et philosophiquement.
Pourtant, il est possible de retrouver une meilleure santé grâce à l'observation de quelques principes alimentaires simples.
mercredi 30 septembre 2009
Comment vivre avec les souffrances et maladies de nos parents?
Quelle complexité que le rapport à nos parents ! Nous recevons en héritage leurs biens matériels, mais aussi leurs empreintes génétiques, leurs systèmes de croyances, leurs histoires de familles. Nous gardons en commun le souvenir de nos plus belles années : celles de notre enfance, le souvenir d’années passées ensemble. Ils nous ont mis au monde, nous ont donné tout ce qu’ils pouvaient, nous ont mené à l’âge adulte. Comment nous en séparer pour trouver notre individualité et leur rendre la leur ? Comment vivre tous ces passages, d’unions et de séparations, dans le respect et la bienveillance ? Comment voir ces personnes qui nous sont chères, souffrir de solitude, de leurs émotions, et de leurs maladies ? Comment dissiper cette fatigue qui semble les marquer jusque dans la tenue de leur corps ? Comment retrouver avec eux un nouvel équilibre, prendre conscience de notre propre individualité, rétablir avec eux un rapport d’égalité, et partager avec eux plus encore qu’une histoire commune ?
Pour cette rencontre, nous causerons selon le principe des cafés citoyens : chacun partage son point de vue, son expérience, ses ressources, avec générosité, écoute, convivialité. Chacun est invité à s’exprimer, au “je”, de sa propre expérience, et de son ressenti personnel. Nous nous mettons les uns les autres à l’abri du jugement, des avis tranchés, ou de tout autre chose que la volonté de contribuer. Un animateur se dévoue pour répartir la parole, s’assurer que chaque intervenant est respecté, et que personne ne soit interrompu lorsqu’il s’exprime.
Plus d'infos sur le site de Nouvelles Alternatives
lundi 10 août 2009
Comment libérer les tensions de notre corps par la microkinesithérapie
Vidéo sur la microkinésithérapie : http://www.nouvelles-alternatives.be/microkinesitherapie
vendredi 27 mars 2009
La cuisine végétarienne: un outil de plaisir et de changement
Conférence à Bruxelles - le vendredi 3 avril à 20h
Dans nos supermarchés d’aujourd’hui, nous n’avons pas beaucoup de choix dans l’origine de nos produits alimentaires. Nous perdons le lien fort que l’alimentation tisse entre nous, la terre et les agriculteurs. En prenant garde au choix de nos produits alimentaires, nous pouvons retrouver ce lien. L’une des options pour faire ce choix est la cuisine végétarienne. En nous basant sur la règle des harmonies, nous pouvons faire de cette cuisine un outil de choix gustatif autant que politique. Les principes de cette règle sont le respect :
- de la terre — l’écologie,
- de notre santé — éviter les protéines cuites,
- de notre plaisir — par le goût, les formes, les couleurs,
- des peuples qui pratiquent l’agriculture — un rapport équitable entre le producteur et le consommateur.
Après avoir détaillé ces règles d’harmonie, et exploré les principes du régime végétarien céréalien, nous préparerons et dégusterons une alternative à la protéine animale : le pâté végétal, un aliment à la fois délicieux, économique, et simple à préparer.
![]() | Damien Poncelet : après plusieurs années de travail à travers le monde, dans diverses associations, il s’est décidé à revenir dans son pays d’origine pour vivre de sa passion : la cuisine. Aujourd’hui, il est cuisinier traiteur en éco-gastronomie, professe en Belgique depuis plusieurs années et tente par ses expérimentations personnelles d’associer gastronomie et écologie |
Date : vendredi 3 avril 2009 à 20h (19h pour la table d'hôte)
Lieu : salle communautaire des Venelles, Venelle aux Jeux 25, 1150 Woluwé-Saint-Pierre
PAF : 8/10/12 euros ou échange de service (modalités de participation)
Informations et inscriptions : http://www.nouvelles-alternatives.be/
samedi 31 janvier 2009
Comment libérer les tensions de notre corps par la microkinésithérapie
Le corps humain, comme tout organisme vivant, est conçu pour s’adapter, se défendre et se rétablir en cas d’agressions traumatiques, émotionelles, toxiques, virales, microbiennes et environnementales. Lorsqu’une agression dépasse les possibilités d’adaptation de notre organisme, notre tissu corporel mémorise l’agression et perd de sa vitalité. Cette perte de vitalité peut donner lieu à différentes tensions à l’endroit du tissu ou à distance de celui-ci. Pour rendre au tissu sa vitalité, la microkinésithérapie propose de rechercher les traces des agressions par palpations légères à différents endroits du corps. Pour restaurer la fonction des tissus agressés, elle propose de stimuler par mobilisation douce les mécanismes de rétablissement de notre corps.
![]() | Licencié en kinésithérapie de l’Université Libre de Bruxelles (ULB) depuis 1995, Olivier Calloens a suivi diverses formations complémentaires :
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Date : vendredi 6 février 2009 à 20h (19h pour la table d'hôte)
Lieu : salle communautaire des Venelles, Venelle aux Jeux 25, 1150 Woluwé-Saint-Pierre
PAF : 8/10/12 euros ou échange de service (modalités de participation)
Informations et inscriptions : par Internet sur le site web Nouvelles Alternatives ou par téléphone au numéro 0495/702.111.
samedi 20 décembre 2008
Homéopathie et allopathie: quelle différence essentielle?
Conférence à Bruxelles - vendredi 9 janvier 2009 à 20h
Il s’agit de préciser et d’illustrer par un exemple familier les deux manières fondamentalement différentes de considérer et de traîter les manifestations de la maladie, qu’on appelle les “symptômes”. En allopathie, on tente de les supprimer (principe d’opposition). En homéopathie on tente de les faire aboutir - en “allant” dans le même sens (principe de similitude) - vu qu’on les considère comme des indicateurs de la voie de guérison.
L’application d’une démarche de similitude implique forcément une individualisation et une globalisation de chaque cas. La similitude ne peut s’appliquer que sur la situation individuelle du patient : en conséquence, un symptôme donné peut demander deux remèdes différents chez deux patients différents - contrairement à l’allopathie qui donne le même traitement à tous les patients qui sont décrits par un même diagnostic.
Finalement : “Que veut dire ce terme de “similitude” ? Il s’agit d’une similitude entre Quoi et Quoi ? ” - On prendra ici l’occasion de rectifier certains lieux communs (erronés) qui persistent à se généraliser et qui entretiennent des idées abusives sur le contenu réel de la démarche de l’homéopathie.
![]() | Dr Jacques Grosjean
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“Ma motivation principale provient du fait que le discours ambiant et médiatique - qui circule actuellement à propos de l’homéopathie - est erroné, incomplet et dérisoire. J’estime qu’il est souhaitable - par respect pour les patients - de lever l’ambiguité des “à-peu-près” et de corriger les contre-vérités.”
Informations et inscriptions : http://www.nouvelles-alternatives.be/homeopathie-allopathie-difference-similitude
vendredi 19 décembre 2008
Les nouvelles techniques pour soulager notre mal de dos
Le mal de dos est réputé être le mal du siècle ; tout le monde semble en souffrir à des degrés divers. Les plus touchés d’entre nous souffrent tellement que leur vie est calvaire. Sciatique, lumbago, torticolis, maux de tête, font partie de ces maux réputés tenaces. Pourtant les approches ne manquent pas. Les thérapeutes manuels classiques proposent de renforcer la colonne vertébrale par des exercices de musculation. Les thérapeutes manuels alternatifs, les masseurs esthéticiens et les masseurs indépendants offrent des massages relaxants ou tonifiants. Les osthéopathes structurels et les chiropracteurs manipulent les vertèbres au-delà du jeu articulaire habituel. Les osthéopathes viscéraux massent le ventre pour libérer les tensions du dos. Les othéopathes cranio-sacrés suggèrent que les maux de dos sont liés à des perturbations du mouvement respiratoire primaire et de la circulation du liquide céphalo-rachidien. Enfin, les psychosomaticiens associent les troubles du dos à toutes sortes de causes émotionnelles. Toutes ces pratiques peuvent rendre à la personne un peu de vie et d’énergie mais ne soulagent pas toujours durablement. Après plusieurs mois, parfois quelques semaines, il est fréquent que les maux reviennent et que la personne retourne consulter. Il semble parfois n’y avoir pas de limite à cette nécessité de consulter, comme si le traitement devait durer à vie. Fort heureusement, de nouvelles techniques voient le jour pour soulager le mal de dos. Nous verrons comment les aborder, ce qu’on peut en attendre, comment les associer, et en fin de compte, comment progresser vers l’autonomie.
![]() | Suite à deux accidents de voiture en perte totale, Jean-Pierre Norguet a souffert du mal de dos pendant 10 ans. Laissé pour compte par la médecine classique, il s’est tourné vers les thérapies alternatives jusqu’à trouver le soulagement. Passé de technique en technique, il souhaite aujourd’hui partager avec d’autres son parcours atypique de soins du dos. |
Informations et inscriptions : http://www.nouvelles-alternatives.be/mal-de-dos
lundi 30 juin 2008
Qu'est-ce que l'aromathérapie

1. Qu'est-ce que l'aromathérapie?
A cause du préfixe "aroma" (odeur), l'aromathérapie est souvent considérée, à tort, comme une simple pratique de bien-être, consistant à diffuser des odeurs agréables dans l'air ambiant. Or il s'agit aussi (et même surtout) d'une approche thérapeutique complexe, basée sur les essences aromatiques ou "huiles essentielles" de certaines plantes. L'aromathérapie est une branche de la phytothérapie.
2. Qui l'a inventée?
Déjà utilisées dans l'Egypte ancienne il y a plus de 5 000 ans, les huiles essentielles se retrouvent dans de nombreuses médecines traditionnelles comme en Inde ou en Chine. Mais le mot "aromathérapie" a été créé au début du 20e siècle par un chimiste français, René-Maurice Gattefossé, qui faisait des recherches en parfumerie.
3. Les huiles essentielles, qu'est-ce que c'est?
Frottez entre vos doigts un pétale, une feuille ou une branche: si une odeur se dégage, c'est qu'une huile essentielle s'est libérée. Malgré leur nom, les huiles essentielles ne contiennent pas de corps gras comme les huiles végétales obtenues par pression (tournesol, maïs, amande douce, etc.) Ce sont des substances odorantes et très volatiles (s'évaporant rapidement dans l'air), présentes dans les plantes aromatiques et contenant parfois plus de 200 principes actifs différents.
4. Comment les extrait-on?
Les deux principales méthodes d'extraction sont la distillation (au moyen d'un distillateur semblable à celui employé pour l'alcool) et la pression. Il faut 60 000 roses pour produire 30g d'huile de rose! D'où le prix relativement élevé des huiles essentielles pures. Mais, comme elles sont très concentrées, elles se dosent goutte à goutte, de sorte que 10 ou 15 ml peuvent vous mener très loin!
jeudi 5 juin 2008
Des collaborateurs en bonne santé, gage de compétitivité
Zurich (ots) - Le nombre de personnes atteintes de maladies chroniques ne cesse de croître dans le monde entier. Or, des mesures de prévention ciblées permettraient d'éviter une grande partie de ces affections chroniques. En Suisse, par exemple, 40 pour cent des hommes et 60 pour cent des femmes âgés de 25 à 74 ans souffrent d'hypertension. Les maux tels que le diabète, les maladies cardiovasculaires ou l'asthme entraînent des séquelles durables sur la productivité et la rentabilité des entreprises. En outre, ils contribuent dans le monde entier à l'explosion des dépenses de santé. Cette évolution est préoccupante. En conséquence, les entreprises devraient à l'avenir davantage investir dans la prévention des maladies et dans la santé de leurs collaborateurs, car des collaborateurs en bonne santé sont un gage déterminant en matière de compétitivité sur le long terme. Tels sont les enseignements tirés de l'étude "Working towards Wellness: The Business Rationale" de PricewaterhouseCoopers (PwC) et du Forum économique mondial (WEF).
A l'origine, les maladies chroniques étaient répandues dans les pays développés. Aujourd'hui, elles ne cessent de progresser également dans les pays émergents. Le Brésil, la Chine, la Russie et l'Inde perdent ainsi chaque année plus de 20 millions "d'années de vie productive". D'après les estimations, ce nombre devrait encore grossir de près de deux tiers jusqu'en 2030. "Au cours des 25 prochaines années, les maladies chroniques provoqueront une diminution des ressources en main d'oeuvre, en économies et en investissements pour finalement pénaliser les marchés financiers mondiaux", explique Hans-Peter Münger, Directeur en conseil économique et responsable du secteur de la santé, PricewaterhouseCoopers Suisse.
Les maladies chroniques provoquent une flambée des dépenses publiques de santé
Une grande partie des dépenses publiques de santé ainsi que près de 4 heures de travail perdues sur 10 sont à mettre au compte des maladies chroniques. Les dépenses de santé croissent proportionnellement à chaque nouveau facteur de risque (p. ex. surpoids, consommation de tabac et d'alcool). Aux Etats-Unis, 30 pour cent de la population en âge de travailler souffrent d'une maladie chronique entraînant ainsi 75pour cent des dépenses de santé qui s'élèvent au total à 2 milliards de dollars US.
Baisses de productivité et recul du revenu national
Les pertes de productivité entraînées par les maladies chroniques sont 400 pour cent supérieures aux coûts de prévention et de traitement. Les effets secondaires des maladies chroniques, comme la dépression, un sentiment d'épuisement ou les troubles du sommeil, sont les principaux responsables de la baisse de productivité des personnes concernées.
Prévention pour garantir le capital humain
Les coûts induits par les maladies chroniques s'envolent exagérément en dépit des efforts de prévention. Il est aujourd'hui avéré que les entreprises qui proposent des programmes de wellness et de promotion de la santé à leurs collaborateurs enregistrent une meilleure productivité et une rentabilité accrue et, qu'en outre, ces derniers souffrent moins de maladies chroniques. Il s'agit-là d'un avantage concurrentiel déterminant pour préserver le capital humain, prévenir la pénurie latente de main d'oeuvre et asseoir l'efficacité économique sur le long terme. De nos jours, les entreprises investissent en moyenne 290 dollars US par collaborateur pour obtenir un gain de 1000 dollars US. Il est du devoir et de la responsabilité de chaque organisation d'entretenir des relations réfléchies et sociales avec ses collaborateurs et de créer un environnement de travail sain.
Plus d'infos sur http://www.pwc.ch/wellness
vendredi 30 mai 2008
L'action Restosanté
Partenamut et Partena Ziekenfonds veulent inciter les gens à manger
sain et à vivre plus sainement. Dominique Monami et Luc Van Lierde
sont respectivement la marraine et le parrain de cette action.
A partir d'aujourd'hui 65 restaurants participants s'engagent à
servir un menu 'santé', comprenant une entrée, un plat et un dessert.
Les choix des chefs ont été analysés et approuvés préalablement par
l'Union professionnelle des diététiciens de langue française et la
Vlaamse Beroepsvereniging van Voedingsdeskundigen en Diëtisten. Ces
associations ont fait savoir que les menus présentés cadrent
parfaitement dans une alimentation saine, pauvre en graisse et
équilibrée. Chaque menu répond aussi à une chartre nutritionnelle
rigoureuse, élaborée par la Ligue Cardiologique Belge.
Mieux vaut prévenir que guérir...
Aller au restaurant pour se régaler tout en restant en bonne santé,
c'est une nouvelle tendance. Pourtant, elle est encore loin de
s'imposer comme une évidence. C'est pourquoi l'offre 'santé' des
restaurants est accessible à tous. Pour les membres de Partenamut, il
a en outre un plus appréciable. Sous le slogan 'mieux vaut prévenir
que guerir', ils peuvent en effet gagner des points grâce à un mode
de vie sain, ce qui leur permet d'obtenir un 'code'. Ce code permet
de réserver en ligne un menu 'santé' dans un restaurant participant :
1 menu Restosanté gratuit et 1 menu Restosanté payant.
Comment les membres de Partenamut peuvent-ils obtenir leur code ?
Tout simplement en entreprenant régulièrement des actions 'saines'.
C'est ainsi, par exemple, que les personnes qui se font vacciner
préventivement ou qui s'affilient à un club de sport obtiennent un
point. Lors de leur inscription au programme d'épargne Restosanté,
elles reçoivent d'office un point en cadeau. Quand elles ont accumulé
deux points, elles obtiennent leur code de réservation.
Se retrousser les manches...
Mais Restosanté.be, c'est davantage que cette action. Le site
internet veut être un point de référence pour celles et ceux qui
accordent de l'importance à un mode de vie sain. Chacun peut préparer
lui-même ces menus sains et savoureux sur la base des recettes des
chefs, recettes qui sont disponibles en ligne. Qui plus est, chacun
peut demander conseil en ligne à un(e) diététicien(ne).
Plus d'infos sur www.restosante.be
lundi 5 mai 2008
Découvrez la Wii fit
Née au Japon où elle a eu un succès gigantesque, la Wii Fit débarque dans nos pays... Attaquez ces zones graisseuses grâce au nouveau programme d'entraînement de Nintendo et à la Wii Balance Board! Vous pourrez aussi suivre des cours de yoga et de divers sports... Tentée par l'accessoire minceur dernier cri?
La Wii Balance Board ainsi que son programme Wii Fit de Nintendo sont enfin arrivés en Europe et font déjà fureur dans notre petit pays! La balance peut supporter jusqu'à 150 kg et il est possible de plannifier un programme d'entraînement! Cet accessoire révolutionnaire vous permettra de perdre vos quelques kilos en trop avant les vacances de cet été.
Mais ce n'est pas tout! La Wii permet également d'améliorer et de rééquilibre sa posture grâce aux cours de yoga. Et pour les fanas de sport, la Wii compte une multitude de sports différents et tous plus divertissants les uns que les autres... En tout, 48 activités sont à découvrir!
En plus, les instructions sont données par un coach qui accompagne en permanence l'utilisateur, dans ses mouvements. Il donne de précieux conseils et vous avertit lorsque vous n'avez pas bien exécuté les mouvements.
Elles sont disponibles dans les grands magasins d'électroménagers... Alors, qu'attendez-vous? Toutes à votre Wii Fit!
Pour plus d'informations, surfez sur http://ms2.nintendo-europe.com/wiifit/frBE/
vendredi 11 avril 2008
Arrêter de fumer ou ne pas commencer...
- L’arrêt du tabac permet de retrouver un souffle plus régulier et plus naturel.
- L’arrêt du tabac permet de retrouver un rythme de vie plus régulier, un vrai sommeil réparateur.
- Arrêter de fumer permet de retrouver une sérénité et un goût de vivre oubliés: Le stress, l'anxiété, l'irritabilité, provoqués par le sevrage, s'estompent rapidement (des moyens thérapeutiques peuvent aider) et les avantages liés au sevrage prennent rapidement le dessus sur les désagréments.
- Arrêter de fumer permet de dépenser moins d'argent, voire d'économiser. "Mettre de côté" l'argent initialement dépensé pour le tabac dans un projet qui tient à cœur est une bonne motivation.
- La prise de poids constatée lors d'un sevrage se stabilise en moyenne dans les trois mois.
- En arrêtant de fumer, la peau et les cheveux retrouvent un aspect plus sain, sans oublier les doigts, les dents et l'haleine qui ne trahiront plus vos penchants.
- Arrêter de fumer permet de retrouver sa place dans la société ; l’éclosion de nombreux lieux non-fumeurs permet de mener une vie saine et normale en évitant d’être en permanence tenté par le tabac.
Il est toujours temps d’arrêter de fumer, même si plusieurs essais peuvent être nécessaires.
Aujourd’hui, nombreuses sont les méthodes efficaces disponibles. Une aide médicale ou associative est envisageable en amont et en aval de la décision.
Besoin d’aide pour arrêter ?
HELP propose une rubrique spéciale baptisée « coaching » destinée à tous ceux qui souhaitent arrêter de fumer, et qui ont besoin d’aide. Par une simple inscription, le « coaching HELP » permettra à l’internaute de recevoir 25 mails d’encouragement sur deux mois, sous forme de courriers électroniques. Le « coaching HELP » se veut un allié pour vaincre la dépendance au tabac. Chaque mail donnera des conseils et des infos personnalisés qui aideront l’internaute à cesser de fumer. Le « coaching » HELP est un outil performant, ludique et convivial pour aider à cesser de fumer.
Vous voulez arrêter de fumer? Vous ne souhaitez pas commencer? Vous chercher des informations ou souhaitez aider une personne de votre entourage?
Surfez sans plus attendre sur http://fr.help-eu.com/pages/index-1.html
dimanche 6 avril 2008
Bougez pour vivre mieux et plus longtemps!
Principal enseignement, «la pratique des activités physiques et sportives, même d'intensité modérée contribue à diminuer la mortalité et augmenter la qualité de vie».
Le terme «activité physique» regroupe à la fois l'exercice physique quotidien - à la maison, au travail, dans les transports - l'activité physique de loisirs et la pratique sportive.
En 2007, de nouvelles recommandations ont été formulées aux Etats-Unis.
Pour les 18-65 ans, il est ainsi conseillé de pratiquer une activité physique d'intensité modérée de 30 minutes quotidiennes, 5 jours par semaine.
Selon l'Enquête nationale Nutrition Santé (ENNS), les deux tiers des 18-74 ans ont une activité d' au moins 30 minutes par jour à raison de 5 séances par semaine.
Point décevant, seulement 40% des 11-14 ans (45% des garçons et 30% des filles) pratiquent une activité 30 minutes chaque jour.
Les experts de l'INSERM recommandent ainsi dès-lors des campagnes d'information qui devraient «cibler spécifiquement les jeunes filles de 12 à 17 ans».
C'est d'autant plus important que l'activité physique à un effet très favorable sur la santé.
Chez l'enfant et l'adolescent, elle constitue un excellent rempart contre le surpoids et l'obésité.
Elle réduit également le risque de dépression, de fractures, de maladies cardio-vasculaires, de diabète...
Une activité d’intensité élevée de 20 minutes quotidiennes entraîne une baisse du risque de mortalité de... 30% !
Bref avoir une activité physique régulière, c'est vraiment le geste santé par excellence!
Références :
Expertise collective parue sous le titre "Activité physique - Contextes et effets sur la santé" - Éditions Inserm, mars 2008, 832 pages, 60 EUR, Collection Expertise collective, (ISBN 978-2-85598-862-4) - Diffusion-vente : librairies spécialisées ou Librairie Lavoisier, Paris
(Communiqué de Presse INSERM, 01 avril 2008)
Philippe Reumont Licencié en kinésithérapie - Diététicien
http://www.medisport.be
http://www.doxys.be
vendredi 11 janvier 2008
Une vie saine accroît la longévité de quatorze ans
Ne pas fumer, boire peu d'alcool, manger des fruits et des légumes et faire régulièrement de l'exercice physique... Quatre règles simples qui prolongent l'espérance de vie.
De nombreuses enquêtes ont déjà montré que le tabagisme, tout comme la consommation excessive d'alcool, abrège l'existence. On estime qu'il est bon de manger des fruits et légumes régulièrement et de faire de l'exercice physique. Mais personne n'avait encore calculé les bénéfices que l'on tirerait d'un mode de vie qui cumulerait ces comportements.
C'est désormais chose faite, puisqu'une équipe de chercheurs de l'université de Cambridge (Royaume-Uni), en partenariat avec le Medical Research Council, s'est penchée sur ce problème et a mené pendant quatorze ans une enquête qui lui permet d'affirmer que cette vie considérée comme idéale (au moins en terme de santé) majorerait l'espérance de vie de quatorze ans, par rapport à ceux qui additionneraient tous ces facteurs de risque. Leurs travaux sont publiés cette semaine dans la revue Public Library of Science Medecine (PloS Medecine).
Pour aboutir à ce résultat, les chercheurs de Cambridge ont commencé en 1993 à surveiller 20 244 personnes, hommes et femmes, âgés de 45 à 79 ans, après les avoir interrogées sur leur mode de vie. Chaque participant s'est vu attribuer un score d'un point pour chacune des quatre attitudes favorables en terme de santé (absence de tabac = 1 point, faible consommation d'alcool (un demi-verre par jour = 1 point), tout comme manger cinq fruits et légumes par jour et pratiquer un exercice physique d'une demi-heure par jour). En 2006, les enquêteurs ont pu comptabiliser 1 987 décès parmi ces 20 000 volontaires et ont corrélé la durée de vie de chacun à son mode de vie.
La mortalité cardiaque influencée par le mode de vie
Les conclusions sont attendues mais elles apportent néanmoins beaucoup de précisions sur les conséquences sanitaires d'une vie saine. Pour ceux qui n'ont aucun point, c'est-à-dire qui cumulent ces quatre comportements nocifs, le risque de mortalité par rapport à ceux qui en ont quatre est multiplié par 4,4. Le risque de décès est multiplié respectivement par 2,52, 1,95 et 1,39 pour ceux qui respectent un, deux ou trois comportements favorables sur la santé.
Forts de toutes ces données, les chercheurs ont aussi pu calculer qu'une personne âgée de 60 ans qui cumule tous les comportements à risque c'est-à-dire qui n'a aucun point a le même risque de mourir qu'un individu de 74 ans qui serait doté de 4 points, c'est-à-dire qui n'a aucun des facteurs de risque définis ci-dessus. De manière globale, dans cette cohorte suivie par les chercheurs, les chances de survivre sont de 95 % avec une vie totalement «saine» contre 75 % pour ceux qui multiplient les comportements à risque. «Il y a une forte décroissance du risque de décès avec l'augmentation des attitudes positives. Ceux qui respectent quatre comportements bénéfiques ont approximativement un quart de risque de mortalité en moins que ceux qui n'en respectent aucun, ce qui équivaut à une différence de quatorze ans d'espérance de vie, concluent les auteurs. La mortalité cardiaque apparaît la plus influencée par le mode de vie, suivie de près par celle liée au cancer.»
«C'est la première fois que l'on analyse l'effet cumulé des facteurs de risque sur la mortalité, expliquait le professeur Kay-Tee Khaw, le premier signataire de l'étude, sur le site Internet de la BBC. Nous avons aussi montré que l'origine sociale ou encore le poids n'influencent que peu le risque de décès. Une large proportion de la population pourrait tirer de grands bénéfices sanitaires avec des changements modérés du mode de vie.»
Sans utiliser aucun médicament, il apparaît donc possible de prolonger l'espérance de vie. Reste à savoir s'il est possible de convaincre nos concitoyens de modifier leur mode de vie pour vivre plus longtemps et s'ils souhaitent vivre plus vieux en se privant de quelques-uns des plaisirs terrestres.
Source : Le Figaro - Martine Perez
vendredi 7 décembre 2007
Pourquoi j'ai créé Wellness Paladins?

Non, le projet est né tout simplement de multiples constats et intuitions. Tout d'abord, j'ai pu expérimenter (par mes expériences professionnelles précédentes) l'augmentation du niveau de stress dans les entreprise, augmentation renforcée par la précarité de chaque situation de la vie quotidienne. Qui est aujourd'hui assuré de conserver son travail, son couple ou même sa famille?
En même temps, j'ai aussi remarqué comme tout le monde que les coûts liés à la santé augmentent considérablement. Ils augmentent d'ailleurs tellement forts qu'il est maintenant financièrement intéressant de s'occuper de prévention. Et pour les entreprises ou l'Etat, un autre intérêt de s'occuper de prévention est la question de la responsabilité juridique dans certaines situations de santé publiques (amiante, accidents, pollution, etc.). Demain, les entreprises seront peut-être considérées comme responsable des dépressions et bien sûr suicides de salariés... C'est en fait déjà plus ou moins le cas mais de manière isolée.
Parallèlement, la précarisation, l'évolution des mentalités et des niveaux de vie entraîne un fort développement de la liberté individuelle et donc de l'envie de s'occuper de soi, de se faire plaisir, etc.
Voilà, en quelques mots, les constats ou intuitions qui ont inspiré ce projet.
Mais, je me suis donc dit que si ce changement précarise dans un premier temps, il peut aussi libérer! En effet, il est préférable de trouver un travail que l'on est heureux de faire car on y trouvera des satisfactions, on sera content d'y aller et de s'y investir et, hors coups durs de l'entreprise, on y sera récompensé (à défaut parfois d'y être reconnu). Pour les couples, il y a un dicton célèbre qui dit qu'il vaut mieux être seul que mal accompagné. Si on vit une relation qui nous rend malheureux(se), on doit pouvoir l'arrêter et changer. On ne peut pas dépendre comme cela d'une personne ou d'un travail en étant malheureux! Et pour cela, les services de bien-être peuvent vraiment faire la différence...
On peut apprendre à ne pas avoir peur du changement, apprendre au contraire à le provoquer, à le souhaiter, à l'aimer. Le changement peut vous libérer, vous entraîner dans un nouveau voyage, il peut aussi vous permettre d'atteindre de nouveaux horizons, de nouveaux objectifs. Sur la volonté, il y a cette phrase d'Abraham Lincoln que j'aime beaucoup: "ne vous endormez pas en pensant qu'une chose est impossible, vous risqueriez d'être réveillé par le bruit que ferait un autre en la réalisant!" Lao Tsu a dit aussi "Quand il y a une volonté, il y a un chemin".
Il faut donc de la volonté mais aussi souvent un grand soutien, de sa famille, de ses proches mais aussi parfois de professionnels.
Sans prétendre à changer votre vie, le projet de Wellness Paladins est de donner à chacun le goût d'être bien, d'être mieux. Faire découvrir des acteurs du bien-être qui ont un talent, qui sont des artisans du bien-être et qui sont passionnés par ce qu'ils font.
Nous voulons leur donner une audience. Voilà (un peu) comment est né Wellness Paladins.
A suivre...
